L'Université Européenne de Bretagne dévoile son logo

Cette cérémonie avait pour objectif de présenter à la communauté universitaire et scientifique de Bretagne son identité visuelle, son rôle et ses ambitions à l'international. Le nom choisi dès sa création se devait d'être enrichi d'un graphisme afin de construire l'identité visuelle de l'UEB. Le logo est le signe graphique qui identifie et caractérise l'institution. Il valorise le nom, contribue à sa mémorisation et doit permettre à l'UEB de se distinguer plus facilement. Il symbolise de façon concrète cette alliance entre ses 21 membres et donne une visibilité cohérente à l'ensemble de ces acteurs. L'UEB, un label d'excellence pour une ambition à l'international Pour illustrer la labellisation - avec le sceau de l'UEB - de l'ensemble des thèses soutenues dans ses établissements membres, quatre docteurs, issus d'établissements bretons et de disciplines différents, ont reçu symboliquement leur thèse des mains du président de l'UEB, Bertrand Fortin. Depuis mars 2007, près de 400 étudiants ont obtenu le grade de docteur en Bretagne. Tout comme la signature commune des publications des établissements d'enseignement supérieur de Bretagne membres de l'UEB, cet affichage commun des forces universitaires de Bretagne va permettre un meilleur référencement et ainsi de mieux figurer dans les classements mondiaux. Avec 70 000 étudiants et plus de 6000 professionnels au service de l'enseignement supérieur et de la recherche, l'UEB doit permettre aux établissements d'acquérir une taille critique, critère indispensable d'une plus grande lisibilité internationale. En unissant les forces des universités, grandes écoles, centres hospitaliers et organismes de recherche, l'ambition de l'UEB est de se positionner comme un pôle de recherche et d'enseignement supérieur de rang international. Pour cela, l'UEB peut s'appuyer sur une longue tradition de coopérations entre les établissements bretons. L'UEB entend jouer un rôle essentiel dans le positionnement de la région Bretagne en tant que "région de la connaissance", c'est-à-dire en tant que territoires qui construisent leurs forces et leurs attractivités sur les investissements pour la recherche, l'innovation et l'exploitation des connaissances.